Sabrina Benhedfa
Naturopathe –
Homéopathe uniciste
Biorésonance – Retraites Jeûne –
Réflexologie plantaire – Massages Bien-être
Qu’est ce que la naturopathie ?
L’ origine du mot « naturopathie » vient de deux mots anglais : « nature » et « path ». Reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comme « médecine douce complémentaire » à la médecine conventionnelle et auprès d’autres thérapies naturelles, elle s’inscrit dans une cadre de prévention, de préservation et d’accompagnement au retour de la santé en s’appuyant sur les capacités et forces guérisseuses du corps. Pour cela, elle associe la personne dans l’action pour son bien-être et son hygiène de vie. La naturopathie ne se substitue en aucun cas à la médecine conventionnelle : elle s’inscrit en complémentarité avec elle et toutes les autres pratiques sanitaires, médicales et/ou paramédicales.
L’écoute est centrée sur le patient au cours de la consultation. Chaque suivi est personnalisé et adapté à la personne et sa problématique. Parce chaque individu est différent d’un autre, les conseils naturopathiques sont eux aussi uniques et personnalisés.
Alimentation, hygiène de vie, remèdes naturels, gestion des émotions, les techniques naturopathiques sont toutes naturelles et issues du bon sens. Elles agissent en synergie pour renforcer la vitalité de l’individu.
Prendre soin… L’humain est une partie intégrante de la nature. Se relier aux éléments naturels est une source inconditionnelle de bien-être. Le respect de l’environnement et le développement durable font partie de la philosophie de la naturopathie.
Qu’est ce que l’homéopathie uniciste ?
Le médicament homéopathique est choisi d’après les réactions de chacun face à sa maladie, et non d’après le nom de l’affection : c’est l’individualisation. De plus, il est indiqué par l’ensemble des symptômes caractéristiques du patient : c’est la globalité.
Dès lors, on devine les divergences entre homéopathie et allopathie quant à la façon de concevoir la maladie…
La médecine allopathique cherche à identifier les pathologies, puis à les classer en fonction de leurs causes : angines microbiennes, eczéma de contact… Elle explique les différentes maladies en fonction des dernières théories scientifiques en vigueur. Toute différente est l’homéopathie : le nom de l’affection est tout à fait insuffisant pour choisir parmi plusieurs centaines de remèdes.
En homéopathie, le symptôme pathologique n’est pas la maladie, il n’est que la partie apparente de l’iceberg. L’homéopathe uniciste prescrit un seul remède à la fois, choisi d’après les réactions personnelles du patient. Son action a pour but de mobiliser les forces réactionnelles de l’organisme qui ainsi éliminera ses symptômes de lui-même. La guérison homéopathique n’est pas seulement la disparition de la pathologie en cause, elle doit s’accompagner d’une amélioration du patient dans sa globalité, énergie et mental compris. Après la prise d’un remède, ses effets continuent, tout comme un satellite poursuit sa trajectoire après avoir été placé sur orbite.
Tout se passe comme si le médicament homéopathique envoyait à l’organisme une information ciblée dans un langage commun. Si ce dernier est reconnu par le patient, il met en route ses processus de guérison. Dans le cas contraire, il n’y a aucune réponse de sa part et le remède est inefficace. S’il est partiellement entendu, l’amélioration sera incomplète et n’intéressera qu’une partie de l’organisme.